Les masques en bois vendus dans notre magasin sont fabriqués par M. Miyata, artisan depuis 45 ans.
Je l'ai interviewé et lui ai demandé ce qu'il pensait du kagura et de son message aux gens à l'étranger.
Je:enquêteur
M:M. Miyata
I:Avez-vous des préoccupations autres que votre successeur ?
M:L'avant-dernière année, j'ai mis un article dans le journal disant que j'avais des ennuis parce que je n'avais pas de bûches de paulownia.
Puis, une personne qui fabriquait des masques nous a contactés et nous a proposé des bûches séchées depuis 10 ans.
I:C'est un allié rassurant.
M:Je peux utiliser cet arbre tout de suite. Avant cela, j'allais dans les montagnes, je coupais l'arbre et je le laissais sécher pendant quatre ans avant de l'utiliser.
Maintenant, grâce au bois brut sec fourni, il est prêt à l'emploi.
I:C'est avec un tel soutien que vous pouvez continuer.
M:Oui, je suis reconnaissant. Sans matériel, je ne peux pas m'en sortir.
I:Je n'avais pas réalisé qu'il y avait un aspect aussi difficile.
Comme dernière question, je voudrais vous demander si vous avez un message pour les étrangers qui entrent en contact avec la culture japonaise.
M:Je serais heureux si même les étrangers pouvaient hériter de cette culture japonaise traditionnelle.
Il n'y a que quelques personnes qui fabriquent des masques ici à Okayama. Nous serions heureux si même les étrangers pouvaient le faire.
I:Alors, vous serez heureux si plus de gens s'intéressent à ce masque.
Merci beaucoup pour votre temps aujourd'hui.
M:Merci.